Théoriquement, de l'électroacoustique partout, une scénographie de HP déshabillés, des fibres optiques, des drones (voir Eliane Radigue), des capteurs de mouvement, MAX-MSP, LIVE (Gabriel Fabing), des illusions psycho-acoustiques, des sensations d'infra-basses, des "rayons de sons" (voir Varése), des mobiles sonores (Calder ?), de l'acousmatique, de l'immersion, du transport, du tantrisme sonore, du mirage (voir Turrell et la NASA). A ce niveau de réflexion, tout est permis. Pas de limites.
Sans folie, pas de réalité.
Un projet d'intérieur dehors d'ailleurs. Les entrailles et le viscérale. La nature, aussi, d'une certaine manière. Greffée au son, à l'architecture des installations (Thierry Devaux, Davide Galaire et Laurent Diwo), à la diffusion éparpillé du son. Une fragmentation de microscope lié au fourmillement des coins de verdure.
Et puis du corps, du corps et de la danse (Andréa - Cie La Smala), des voix multipliées, dispersées, retravaillées, des déambulations, des
Tout est en l'état. En tête et au brouillon. Jeté en pâture à l'avis, à la confrontation. C'est le projet, ce que l'on y voit sans contraintes et ce que l'on y désire. Ce moment ne porte pas de problèmes, que des idées, que des possibles. Deus ex machina pour ceux qui projètent le devenir sur feuille vierge.
Puis, ensuite, les grains de sable....
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