vendredi 24 septembre 2010
Azimuts entre dans le temple du théâtre en salle
4 compagnies Lorraines sont sélectionnées pour présenter leur prochaine création aux Plateaux Lorrains, pour la première fois une compagnie arts de la rue vient présenter son travail... à suivre les 4 et 5 novembre prochains. Michael.
mercredi 8 septembre 2010
Première réunion d'équipe
Entrailles. Le nouveau projet (Mickael Monnin et Isabelle Raulet)) de la Cie Azimuts, autour de la Femme (texte d'Isabelle Raulet d'ailleurs), autour d'une vie qui s'écoule, autour de sentiments confidents. Un projet Art de la Rue puisque tout est autonome et... waterproof !
Théoriquement, de l'électroacoustique partout, une scénographie de HP déshabillés, des fibres optiques, des drones (voir Eliane Radigue), des capteurs de mouvement, MAX-MSP, LIVE (Gabriel Fabing), des illusions psycho-acoustiques, des sensations d'infra-basses, des "rayons de sons" (voir Varése), des mobiles sonores (Calder ?), de l'acousmatique, de l'immersion, du transport, du tantrisme sonore, du mirage (voir Turrell et la NASA). A ce niveau de réflexion, tout est permis. Pas de limites.
Sans folie, pas de réalité.
Un projet d'intérieur dehors d'ailleurs. Les entrailles et le viscérale. La nature, aussi, d'une certaine manière. Greffée au son, à l'architecture des installations (Thierry Devaux, Davide Galaire et Laurent Diwo), à la diffusion éparpillé du son. Une fragmentation de microscope lié au fourmillement des coins de verdure.
Et puis du corps, du corps et de la danse (Andréa - Cie La Smala), des voix multipliées, dispersées, retravaillées, des déambulations, des
Tout est en l'état. En tête et au brouillon. Jeté en pâture à l'avis, à la confrontation. C'est le projet, ce que l'on y voit sans contraintes et ce que l'on y désire. Ce moment ne porte pas de problèmes, que des idées, que des possibles. Deus ex machina pour ceux qui projètent le devenir sur feuille vierge.
Puis, ensuite, les grains de sable....
aa
Théoriquement, de l'électroacoustique partout, une scénographie de HP déshabillés, des fibres optiques, des drones (voir Eliane Radigue), des capteurs de mouvement, MAX-MSP, LIVE (Gabriel Fabing), des illusions psycho-acoustiques, des sensations d'infra-basses, des "rayons de sons" (voir Varése), des mobiles sonores (Calder ?), de l'acousmatique, de l'immersion, du transport, du tantrisme sonore, du mirage (voir Turrell et la NASA). A ce niveau de réflexion, tout est permis. Pas de limites.
Sans folie, pas de réalité.
Un projet d'intérieur dehors d'ailleurs. Les entrailles et le viscérale. La nature, aussi, d'une certaine manière. Greffée au son, à l'architecture des installations (Thierry Devaux, Davide Galaire et Laurent Diwo), à la diffusion éparpillé du son. Une fragmentation de microscope lié au fourmillement des coins de verdure.
Et puis du corps, du corps et de la danse (Andréa - Cie La Smala), des voix multipliées, dispersées, retravaillées, des déambulations, des
Tout est en l'état. En tête et au brouillon. Jeté en pâture à l'avis, à la confrontation. C'est le projet, ce que l'on y voit sans contraintes et ce que l'on y désire. Ce moment ne porte pas de problèmes, que des idées, que des possibles. Deus ex machina pour ceux qui projètent le devenir sur feuille vierge.
Puis, ensuite, les grains de sable....
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